Parc
André Malraux, Nanterre, est une exposition effectuée dans l'appartement de Roger des Prés à Nanterre au 37 ème étage de la tour nuage n°19 de l'architecte Emile Aillaud, du
1 décembre 2012 au 6 janvier 2013 dans
le cadre du cycle Public/Privé Episode IV.
« Parc André Malraux », est une série de peintures réalisée en 2011 à partir de photographies prises autour du parc dessiné par Jacques Sgard avec ses architectures emblématiques.
« Parc André Malraux », est une série de peintures réalisée en 2011 à partir de photographies prises autour du parc dessiné par Jacques Sgard avec ses architectures emblématiques.
Cité Emile Aillaud 1
acrylique sur toile, 65 x 92 cm
Parc André Malraux
acrylique sur toile, 65 x 81 cm
Cité Emile Aillaud 2
acrylique sur toile, 92 x 65 cm
L'école d'architecture
acrylique sur toile, 65 x 92 cm
Le théâtre des Amandiers
acrylique sur toile, 65 x 92 cm
Le foyer des musiciens
acrylique sur toile, 65 x 92 cm
3 Tours Emile Aillaud
acrylique sur toile, 55 x 38 cm (chacune)
19 Dem.elle d'Avignon
acrylique sur toile, 65 x 92 cm
« Olivier
Turpin s'appuie sur l'outil photographique pour réinventer la
peinture et avec elle, la représentation du réel. L'environnement
urbain, ici des fragments d'édifices, d'architectures remarquées de
la Ville de Nanterre situées au abords du parc départemental André
Malraux, deviennent le sujet et le prétexte d'une recherche
coloriste, en aplats. Olivier Turpin parcours la ville à l'affût de
prises de vues extrêmement banales. Puis il projette l'image saisie
sur sa toile et relève simplement les contours des masses à l'aide
d'un crayon. L'invention plastique commence à partir de ce support
rudimentaire et a lieu dans le choix des couleurs, vives, étrangères
au paysage urbain parisien, puis dans la manière de les juxtaposer.
Un ciel devient un aplat vert ou encore rose ; une façade aux
menuiseries rouges devient bleue. Et le blanc de créer un vide qui
maintient l'équilibre, fragile, et offre simultanément la lecture
d'oeuvres inachevées. Le travail graphique d'Olivier Turpin suscite
l'imaginaire et nous invite, par ses transfigurations, à
réinterroger notre regard sur la banlieue ».
Bénédicte
Chaljub, Nanterre, mars 2013.